2013/10/28

Die beste Lösung für das Kind - Strasburgo 23 Oktober (multilingue D+F+I)


Written By Redazione on martedì 22 ottobre 2013 | 01:14

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Zu Hause und nicht zu Besuch – die beste Lösung für das Kind. Alternierende Obhut, das nächste grosse Thema bei Scheidungskindern.

Am 23. Oktober werden Politikern des Europäischen Parlaments in Strassburg die ersten vergleichenden Studien zur Praxis des Besuchsrechts bei Kindern und Jugendlichen nach Trennung ihrer Eltern vorgestellt. Auch Vertreter aus der Schweiz wurden eingeladen – namentlich wegen der besonders „konservativen“ Regelung in unserem Land.

Initiant ist Dr. Vittorio Vezzetti aus Varese, Pädiater und international angesehener Forscher auf diesem Gebiet. Unter den namhaften Spezialisten aus ganz Europa steht auch Martin Widrig, MLaw und Assistent an der Universität Freiburg, der die Sorgerechtssituation in der Schweiz beleuchten wird. Die Vorträge sollen den Parlamentariern veranschaulichen, wie in den einzelnen Ländern mit Scheidungskindern umgegangen wird und die eindeutigen Vorzüge einer alternierenden Obhut als Betreuungsmodell darlegen – ein Modell, bei welchem die Kinder zwei zu Hause haben und wechselweise bei ihrer Mutter bzw. ihrem Vater leben. Aufgrund der besonders positiven Erfahrungen damit könnte man von einer allgemeinen Verbesserung des emotionalen und physischen Wohlbefindens von Millionen von Minderjährigen ausgehen, wenn es zur allgemeinen Anwendung käme. Die EU hat geradezu eine verfassungsmässige Verpflichtung, ihrer Bevölkerung einen bestmöglichen Gesundheitszustand zu gewährleisten.

Was in anderen Staaten schon längst Realität ist, soll in der Schweiz bekanntlich nächstes Jahr eingeführt werden, nämlich das gemeinsame Sorgerecht. Viel Anstrengung hingegen wird es die Vertreter der Organisationen wie donna2 („donnadue“ - gleiche Rechte für alle Familienangehörigen, auch für Zweitfrauen), CROP, GeCoBi oder Vaterverbot noch kosten, bis wir in unserem Land von der Praxis der alternierende Obhut werden ausgehen können. Das EJPD weigert sich hartnäckig und wider besseren Wissens die alternierende Obhut ihm Rahmen der Revision des Unterhaltsrechts ins Gesetz aufzunehmen und neben der alleinigen Obhut ebenfalls explizit gesetzlich zu regeln. Ohne eine solche Regelung wird bei uns dasselbe passieren wie in Deutschland: Die alternierende Obhut wird es häufig nur dann geben, wenn Väter gleichzeitig weiterhin den vollen Unterhalt an die Mutter bezahlen – mit dem feinen Unterschied, dass die Unterhaltszahlungen in der Schweiz wesentlich höher und länger sind als in Deutschland. Genau deshalb ist es von grosser Bedeutung, dass in Strassburg die rückständige Rechtspraxis der Schweiz thematisiert werden kann. Denn nur mit äusserem Druck auf unser Image lassen sich hierzulande festgefahrene Muster aufbrechen.

Die alternierende Obhut, auch Wechselmodell genannt, bietet bei normalen Rahmenbedingungen mit Abstand die beste Möglichkeit für die Kinder, auch nach einer Trennung resp. Scheidung den Kontakt zu ihren Eltern erhalten zu können, und zwar so intensiv wie in einer „intakten“ Familie. Es ist die einzige international erprobte und bewährte Weise, wie sich ein Kind weiterhin bei beiden Eltern zu Hause fühlen kann und nicht bloss zu Besuch! Diese Kinder haben folglich eine bessere Ausgeglichenheit und zeigen bessere akademische Leistungen.

Eine alternierende Obhut funktioniert erwiesenermassen auch bei zerstrittenen Eltern, wenn mit einem strengen Betreuungsplan gar kein Spielraum für Diskussionen offen gelassen wird. Für das Kind bedeutet dies schlussendlich weniger ein Hin-und Her und es muss keinen Loyalitätskampf ertragen, den es innerlich fast zerreisst. Beide Eltern sind weiterhin gleichwertig. Als erfreuliche Nebenwirkungen hat sich auch erwiesen, dass z.B. die oft den Vätern vorgeworfenen Unverlässlichkeiten im Alimente-zahlen sozusagen ganz verschwinden, weil sie motiviert sind, wenn sie den Kindern persönlich das Notwendige bezahlen dürfen und nicht via Mutter. Auch die bessere Vereinbarkeit von Beruf und Familie ist bei diesem Betreuungsmodell hervorzuheben. Zudem bietet es eine grundsätzliche Entlastung der sonst alleinerziehenden Mutter, ohne dass darunter die Qualität der Mutter-Kind-Beziehung leidet.

Solange ein Abbruch des Trends zum Scheiden nicht in Sicht ist, haben wir keine Wahl: donna2 macht sich stark für eine Überarbeitung der heutigen Gerichtspraxis und plädiert für die Übernahme dieses Betreuungsmodells. donna2 wird in Strassburg anwesend sein.


Se sentir à la maison et non en visite : la meilleure solution pour l'enfant !
La garde alternée : le grand prochain thème de discussion pour les enfants du divorce !
 

Le 23 octobre, les premières études comparatives concernant la pratique du droit de visite après la séparation des parents sont présentées à des personnalités politiques du parlement européen à Strasbourg. Des représentants de la Suisse sont également invités, notamment en raison d’une législation particulièrement conservatrice dans notre pays.

L'initiateur est D. Vittorio Vezzetti de Varese, pédiatre et chercheur international reconnu dans ce domaine. Parmi les spécialistes connus en Europe se trouvent aussi Martin Widrig, MLaw et assistant à l'université de Fribourg qui présenteront la situation de la garde en Suisse. Les rapports doivent illustrer aux parlementaires la situation de chaque pays pour les enfants de parents séparés et présenter clairement les avantages d’une garde alternée comme modèle de base. Dans ce modèle, les enfants ont deux maisons et vivent alternativement chez leur mère et leur père. En raison des expériences particulièrement positives en ce domaine, on peut assurer une amélioration générale de la situation émotionnelle et physique de millions de mineurs si l’application devenait générale sur notre continent. D’ailleurs, l’UE a une obligation quasiment constitutionnelle de garantir un meilleur état de la santé de sa population.

L’autorité parentale conjointe – qui est depuis longtemps la réalité dans d'autres pays – doit être introduite en 2014 en Suisse. Il faudra cependant encore beaucoup d’efforts de la part d’organisations comme donna2 ("donnadue" – égalité de droit pour tous les membres de la famille, et aussi pour les « deuxièmes » femmes), CROP, GeCoBi ou Vaterverbot pour que notre pays pratique la garde alternée. Malgré le progrès que cela représenterait pour l’enfant, le DFJP refuse d'ajouter le principe de garde alternée dans la révision légale du droit d'entretien et s’obstine à légaliser explicitement une garde unique. Sans une telle loi, les choses se passeront comme en Allemagne : 
la garde alternée deviendra fréquente seulement si le père continue de payer l’entretien à la mère, avec une différence tout de même, les contributions d’entretien sont nettement plus hautes et durent plus longtemps en Suisse qu’en Allemagne. Il est donc essentiel qu’à Strasbourg la pratique juridique dépassée de la Suisse soit un thème de discussion. Seule cette pression sur l’image du pays peut faire changer les choses et émerger de nouveaux modèles.
La garde alternée, comme modèle prospère d’avenir, offre des conditions optimales pour que l’enfant garde une bonne relation avec ses parents après une séparation ou un divorce. C'est le seul modèle reconnu et éprouvé au niveau international permettant à l’enfant de se sentir en famille et à la maison chez ses deux parents, et non seulement en visite chez l’un de ses parents ! Par conséquent, ces enfants ont un meilleur équilibre et montrent des résultats scolaires supérieurs.
Il est également prouvé qu’une garde alternée fonctionne également pour les parents en désaccord, lorsqu’une organisation de garde rigoureuse ne permet plus de trouver d’espaces pour les discussions. Pour l'enfant, la garde alternée signifie moins de manipulations de la part de ses parents et, surtout, la fin d’un conflit de loyauté souvent déchirant. Ainsi, les deux parents sont équivalents. 
On peut également constater avec ce modèle une amélioration de l’implication des pères. En effet, s’ils peuvent contribuer personnellement et directement à l’entretien de l’enfant, autant au niveau des soins que de l’argent, les pères se trouvent motivés et plus présents pour leur enfant. Ce modèle permet également une meilleure conciliation de la famille et du travail. Enfin, il s’agit d’une évolution fondamentale pour les mères élevant aujourd’hui seules leur enfant ; leur emploi du temps se trouve allégé sans entraver la qualité de relation avec leur enfant.
Tant qu’aucun changement de la tendance de divorcer ne sera visible, nous n’avons pas le choix : donna2 demande une refonte de la pratique juridique actuelle et plaide pour la mise sur pied du modèle de garde alternée. donna2 sera présent à Strasbourg.

Non diritto di visita bensì vivere con entrambi i genitori separati! I vantaggi della custodia alternata per i figli di divorziati.

Il 23 ottobre prossimo, agli europarlamentari verranno esposti i primi studi comparativi riguardanti i vantaggi che rappresentano per i minori la possibilità di continuare a vivere con entrambi i genitori anche dopo il divorzio. Un rappresentante della Svizzera prenderà la parola per illustrare la prassi estremamente “conservatrice” nel nostro paese.
Promotore di questa iniziativa è il pediatra di Varese, Dr. Vittorio Vezzetti, noto ricercatore e specialista in materia. Invitata anche la Svizzera che sarà rappresentata da Martin Widrig MLaw e ricercatore all’università di Friborgo il quale esporrà la situazione dell’affidamento nel diritto di divorzio nel nostro paese. Con questa iniziativa, il Dr. Vezzetti vuole illustrare al Parlamento europeo la situazione nei vari paesi ed esporre gli indiscussi vantaggi della condivisione dei doveri di custodia alternata - detta anche affido condiviso. Nei doveri della UE è iscritta una clausola che garantisce ai propri cittadini le migliori condizioni di salute possibili. Si chiede dunque al Parlamento di introdurre questa prassi “di igiene psichica” in tutta la comunità europea.

Al 1.1.2014 dovrebbe entrare in vigore in Svizzera l’autorità parentale congiunta automatica; ciò è prassi corrente da anni praticamente in tutta Europa! Mentre a Strasburgo si discute già di custodia alternata, in Svizzera vi sarà ancora molto lavoro da fare affinché le organizzazioni quali donna2 (associazione che chiede una reale parità di trattamento tra i sessi e più specificatamente per tutti i membri della famiglia – nonni, zii, seconde compagne/mogli) CROP, GeCoBi o Vaterverbot possano esser ascoltate dalle nostre autorità. Infatti il Dipartimento di giustizia e polizia è alle prese con la revisione del diritto di mantenimento e sta, nonostante le tendenze contrarie negli altri paesi, rinsaldando la prassi della costituzione di “famiglie monoparentali”, di padri “caccia- quattrini” e figli orfani! Da Strasburgo le citate organizzazioni sperano di poter far attirare l’attenzione dell’opinione pubblica sulla retrograda prassi che si sta consolidando in Svizzera in materia di diritto di famiglia.

I vantaggi della custodia alternata sono molteplici. Grazie a numerose ricerche internazionali si è potuto dimostrare con certezza che i figli di divorziati in queste condizioni riescono facilmente a mantenere l’equilibrio emotivo e affettivo anche e soprattutto nei casi di separazioni conflittuali! Niente più conflitto di lealtà per loro. I genitori rimangono equivalenti. Niente figli “in visita”, niente orfani di padre, niente madri su cui ricade tutto il peso della famiglia “monoparentale”. Come per incanto spariscono le diatribe sugli alimenti mai pagati (o pagati in eccesso). Come per incanto la madre ha una miglior possibilità di integrare la professione con la vita famigliare, che si dimostra nelle ricerche persino con una migliore qualità della relazione madre-figlio.
Fin quando non vi sarà un’inversione di tendenza dei divorzi, non v’è scelta per donna2: postulare la custodia alternata per i figli di genitori separati. donna2 sarà presente a Strasburgo.


Written by donna2


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